LES PÉNALISTES EN HERBE
Les membres du bureau
Adélie JEANSON-SOUCHON
Présidente
M2 Carrières Judiciaires
« Tout au long de mes études, je me suis découvert une véritable passion pour le droit pénal. Variée, en constante évolution, et particulièrement médiatisée, cette matière est souvent considérée comme trop complexe. Elle est pourtant un aspect crucial de notre société, et cristallise des enjeux essentiels en matière de droits fondamentaux. L’idée de pouvoir la rendre plus accessible en la présentant sous un nouvel angle m’a donc immédiatement séduite. Je souhaite m’orienter vers une carrière dans la magistrature. »
Valentine PIC
Responsable communication - réseaux sociaux
Préparation du CRFPA
« Animée par le droit pénal depuis que j’ai découvert le droit, il représente une cause que je considère nécessaire et fondamentale dans une société. Rendre le droit accessible et compréhensible pour tous est une mission à laquelle je tiens et à laquelle je suis fière de contribuer. J'ai été formée en Licence à la faculté de Lyon III et en Master à la faculté de Lorraine. »
Maëline FAVRELIERE
Responsable communication
Diplôme Universitaire de Sciences Criminelles (Poitiers)
« Dès mes 15 ans, le domaine du droit est
devenu une véritable vocation, lors de la réalisation d'un stage au sein d’un cabinet d’avocat. Par la suite, ma licence en droit, spécialisée en carrière judiciaire à l'Université de Poitiers, a confirmé mon attrait indéniable pour le droit pénal. Je poursuis actuellement un Diplôme Universitaire en sciences criminelles à Poitiers. Mon but ultime est d’intégrer l’École Nationale de la Magistrature.
Il me semble particulièrement important de promouvoir l’égalité d’accès au droit pénal et d’œuvrer pour le rendre accessible à tous. En effet, l’engouement de la société et des médias autour de cette discipline peut parfois le dénaturer. Continuellement au cœur de l’actualité, et marqué par de perpétuelles évolutions, le droit pénal joue un rôle crucial au sein de notre société. Je crois donc qu’il est primordial de le démocratiser et de le vulgariser, d’où mon engagement au sein de cette association. »
Mathilde SAUER
Responsable communication
Diplômée d’un M2 Droit pénal et sciences criminelles
Elève-avocate à l'ERAGE
« Dès les premiers cours de droit pénal à la Faculté, ce fut comme une confirmation que ma place était dans le domaine juridique, et d’autant plus au sein des pénalistes. Loin de moi un attrait premier pour les faits divers, mais plutôt, une passion pour cette matière en cohérence avec une société, une mentalité, une sensibilité. L’évolution du droit pénal se calque sur nos évolutions sociétales. Des infractions de blasphème, à la répression des atteintes à la liberté d’expression, par exemple. Il tend constamment vers un humanisme et une liberté plus prononcés.
Ce rapport entre répression et droits de l’Homme suscite autant d’intérêt que de difficultés. Ce qui donne tout son sens à cette association, et qui me motive d’autant plus à y prendre part.
Mon ambition est de devenir magistrate, et ainsi de contribuer à cette immense tâche qui est de rendre la justice. »
Line BARON
Responsable communication
Licence de droit, troisième année
« Etudiante en troisième année de droit, j’ai découvert le droit pénal dès ma deuxième année. Cette matière a tout de suite nourri l’intérêt que je porte envers le droit. Pour enrichir cette passion et parce que j’étais curieuse de connaitre le milieu carcéral, je me suis engagée en tant qu’assesseure en commission de discipline à la Maison d’arrêt d’Angers. Cette expérience me permet de comprendre comment la justice diminue la dangerosité dans notre société. Mais, une grande partie des justiciables ne connaissent pas cette dimension du droit pénal ni les enjeux qui en découlent. C’est pourquoi il est important de le démocratiser. »
Juliette SUSSOT
Secrétaire
Diplômée d'un M2 Contrats et responsabilités
Elève-avocate à l'ERAGE
« Depuis les premiers cours de droit pénal et de procédure pénale à l’Université, je me suis rendue compte de leur caractère crucial pour la société numérique et démocratique dans laquelle nous vivons. Plus encore, en commençant à acquérir de l'expérience pratique, la nécessité de permettre l'accès à l'information juridique m'est apparue d'autant plus importante.
Ce faisant, j’ai compris les enjeux de la démocratisation de ces matières si médiatisées puisque l’ensemble des citoyens est concerné par ces règles de droit parfois obscures et peu accessibles et puisque qu’une certaine partie d’entre eux s’y intéresse grandement à travers des questions juridiques qui deviennent régulièrement des débats de société. »
Steeve LORIAU
Trésorier
Licence de Droit privé
« Présentement pénaliste en herbe, futur avocat en gerbe. A priori, si rien ne me destinait au droit c’est bien en poussant les portes de cet amphithéâtre en première année que j’ai su trouver ma place dans ce champ juridique si vaste. Si proche de la société, le droit pénal lui est pourtant méconnu. Si le cultivateur est responsable de la mauvaise herbe, le juriste est responsable de la méconnaissance du droit. Dans ce noble objectif qu’est la démocratisation du droit pénal, j’aimerai participer à entretenir cette belle et exigeante plante qu’est l’association. Étudiant en troisième année de licence de droit privé de la Faculté Jean Monnet à Sceaux, passionné par l’avocature et l’éloquence, vous pouvez me retrouver dans le rayon droit pénal de la pépinière universitaire là où poussent les jeunes bourgeons destinés à fleurir l’arbre juridique. »
Les rédacteurs occasionnels
Être rédacteur occasionnel, c'est adhérer au projet de l'association et vouloir y contribuer. En effet, nous avons souhaité que chacun puisse rédiger des articles pour participer au projet.
Si vous désirez en faire partie, n'hésitez pas à nous contacter !
Léo PEDRO
Rédacteur occasionnel depuis septembre 2024
« Ancien Président de la Clinique Juridique d’Assas, je suis sensible à l’accès au droit, a fortiori dans un domaine comme le droit pénal. La matière pénale, que tous les citoyens pensent si bien connaître, d’apparence parfois simpliste, regorge en réalité d’une grande complexité. Or, son impact sur la société est tel qu’il m’est apparu logique de contribuer aux Pénalistes en herbe à mon échelle ! Étudiant en Master de droit pénal appliqué de l’Université de Strasbourg et au sein de la Clinique de droit international des droits de l’Homme co-dirigée par la Fondation René Cassin, j’ai un attrait particulier pour les questions reliant le droit pénal aux libertés fondamentales. En espérant pouvoir vous passionner, à bientôt ! »
Thomas HERMAND
Rédacteur occasionnel depuis mai 2020
« Doctorant en droit privé (IRJI Tours), mon sujet de recherche porte sur la procédure criminelle, ma spécialité est donc le droit pénal et la procédure pénale. Les sujets pénaux sont importants dans la vie et l’évolution de la société, alors lorsque j’ai découvert l’association des pénalistes en herbes, j’ai souhaité apporter ma pierre à l’édifice. La démocratisation de la matière pénale est importante pour la compréhension de ces sujets par nos concitoyens ! »
Marie LEHMON
Rédactrice occasionnelle depuis janvier 2021
« Le droit pénal m’a guidé depuis le lycée dans le choix de mes études. Actuellement en Master 1 de droit français et allemand à l’Université Paris I Panthéon Sorbonne et Université de Cologne, c’est la matière qui a su le plus éveiller mon attention. Ce sont ses aspects politiques et philosophiques qui, je trouve, rendent cette matière fascinante parce qu'elle touche aux principaux fondements de notre société. J’envisage me spécialiser dans les crimes de guerre et droit pénal international, afin de prétendre à une carrière dans le milieu de la sécurité et défense. »
Camille RIUS
Rédactrice occasionnelle depuis mars 2019
« Spécialisée en libertés fondamentales, le droit pénal est une matière qui m'a intéressée et intriguée. J'ai toujours espéré que mon parcours universitaire puisse me permettre d'aider ceux qui en ont besoin. L'association me donne cette chance de pouvoir partager et rendre accessible à tous la matière pénale. Surtout, au pays des droits de l'Homme, il me semble nécessaire que chacun connaisse ses droits face à la répression. »
Notre marraine
Charlotte Claverie-Rousset
Professeur en droit privé et sciences criminelles
« Pour le juriste, comme pour le scientifique, rien n’est plus exaspérant que de voir des idées inexactes circuler et se répandre telles de mauvaises herbes. Comment ne pas réagir lorsque l’on entend des affirmations erronées ou approximatives sur un procès pénal en cours ? Aussi, lorsque des étudiants de Master 1 spécialisés en droit pénal se sont mobilisés pour promouvoir la diffusion de la connaissance juridique pénale au sein de la société civile, je ne pouvais que leur apporter mon soutien. Il faut en finir avec les préjugés, partager notre savoir, et débattre avec nos concitoyens. La démarche des Pénalistes en herbe est plus que jamais nécessaire. »